Lundi 05 Août    St André de Valborgne
 

18h00 - 19h00 : L'ILE AU TRESOR d'après Robert Louis Stevenson (Cie 9Thermidor) (Cour des Ecoles)
Avec 1 comédien conteur/manipulateur : Stéphane BOIREAU - 1 musicien (violoncelle) : Pierre BURETTE - 1 régisseuse lumière : Ophélie KERN
(Prix du Jury 2021 du Off en salle du festival de Charleville-Mézières et Prix du jury Coup de pouce 2022 Festival Au Bonheur des mômes le Grand Bornand)
Le petit Jim Hawkins, qui mène une vie tranquille en aidant sa mère au service à l’auberge de l’Amiral Benbow, se retrouve par une série d’aventures en possession d’une mystérieuse carte au trésor. Il livre la carte à ses amis, le docteur Livesey et le Comte Trelawney, qui décident alors de mener une expédition à la recherche de l’Ile au Trésor. Jim est recruté comme mousse. Mais l’équipage, recruté par le Comte, se révèle être en réalité une bande de pirates - menée par John Silver. Ils ont bien l’intention, une fois sur l’île, de s’emparer du trésor et de se débarrasser des nobles anglais. Jim et ses amis réussiront-ils à échapper aux pirates, à trouver le trésor et à rentrer sains et saufs en Angleterre ?
Une histoire pleine d’aventures et de dangers à savourer en famille dès l’âge de 7 ans.
 

19h30 : INAUGURATION DU FESTIVAL avec YEDNOOKA DOLINSKA GRUPA  (Place du village)
Yednooka Dolinska Grupa (Groupe de la Vallée Borgne en Serbe) est un ensemble de 11 musiciens locaux (Vallée Borgne en Cévennes). Yednooka est à la fois une fanfare, une chorale et un groupe de rock. «  Ce qui nous réunit : les musiques du Sud (Méditerranée, Balkans, Carpates), le blues, …
Nous sommes amateurs, passionnés de musiques tziganes, rêvant de voyages en caravanes … La
journée à quatre pattes, le soir dans les Carpates … »
Le répertoire est fortement influencé par des musiques de films (Emir Kusturica, Tony Gatlif, …), et par des musiciens et groupes tels que Goran Bregovic, Fanfare Ciocarla, C.W. Stoneking,
Christophe : contrebasse - guitare, Andres : guitares - Roland : percussions, chant, -Benoit : clarinette, chant, percussions - Lisa : sax alto, chant, - Alain : tuba, trompette, bugle, chant - Valentin : chant, guitare, trombone - Sébastien : chant, guitare, percussions - Laurie : chant, guitare, - Rosy : chant - Véro : chant, percussions.
 

21h30 : Concert de JAZZ MANOUCHE (Place du village)
avec Jean-Baptiste Baudin (accordéon) -  Philippe Guigner (guitare)
Jean-Baptiste Baudin est sans doute l'un des plus talentueux accordéonistes de sa génération. Vainqueur des plus grands concours, coupe du monde, trophée mondial à l'âge de 17 ans, il se produit en concert dans de nombreux pays : Russie, États Unis, Canada, Serbie, Allemagne, Italie, Suisse, Chine... Aux côtés de Didier Lockwood, Richard Manetti, Alberto Weiss, et de nombreuses formations.
Musicien surdoué capable de jouer de nombreux styles musicaux : baroque, classique, tango argentin, swing manouche, swing américain, jazz moderne, musique brésilienne ou encore contemporaine.

Philippe Guigner a joué dans le quintette de Léo Slab durant plusieurs années avec lequel ils se sont produits entre autres aux festivals de Marciac, ou à Samois au festival Django Reinhardt.
Depuis 2002 il joue dans le quintette Nany Swing et participe aussi au Hard Dixie Four.

​

 

​

Mardi 06 AOÛT      L'estréchure / Peyrolles
 

14H- 16H00 : ATELIER LAND ART (Place du Village)

Atelier pour enfants à partir de 6 ans par Céline Pialot

L'Association l'Atelier des Monts Brumeux dont la spécialité est la médiation autour du Land Art et plus largement de l'Art environnemental, propose un atelier d'initiation à la création avec la nature au travers d'une exploration du lieu qui mènera à une récolte d'éléments trouvés sur place en vue de créer une composition éphémère.

lien vers instagram : https://www.instagram.com/latelierdesmontsbrumeux/

​

17h00 - 18h00 : OONDE de et par Delphine Cam, Poésiphonies et chanson à texte (Temple de Peyrolles)

Delphine Cam : (Voix, guitare, piano, flûte, shruti box, tambours.) Tisseuse d’ondes, Delphine Cam nous conduit avec humour et sensibilité sur le fil de sa voix dans ce concert poétique et rythmé, appelant notre lien à la Terre, aux racines et au Souffle.Des voix s'empilent et se mélangent “en live”, pour une danse polyphonique joueuse et poignante, portant des textes dans lesquels la langue française rejoint celle du rêve.Et puis, au détour d’un poème, la voix se dénude et le piano s’invite pour un tango surprenant ou une valse déjantée, la guitare arpège un chant pour l’eau...Elle, elle parle à la nuit, aux arbres et à la pluie, elle chante la vie dans sa peau de femme ou sur celle d'un tambour. 

 

18h30 - 19h30 : A TEMPS par la Cie Haut Del Alto (cirque) (Champ derrière la Mairie)
Ecrit et interprété par Ambre Ruiz, Miceli Porcel et Luca Ruiz Miceli." Spectacle de cirque, tout terrain, tout public " ( à partir de 5 ans ) //Durée 45 minutes // Mât chinois, portés acrobatiques, clown, musique live. " Égarés dans le monde, deux clowns cherchent par tous les moyens un lieu pour exister, conforme à leur idéal.Et le voici ! Enfin ! L'endroit rêvé, juste là sous nos yeux.Ils posent leurs bagages, déroulent leur tapis, édifient leur foyer... Et se jettent à bras le corps dans cet idéal qu'ils reconnaissent...Pour un temps.C'est qu'il y a le désir, ce désir brûlant qui toujours les anime, consume le bonheur comme le temps et toujours les appelle à d'autres ailleurs, vers d'autres promesses."

 

21H30 : LE MAGNIFIQUE BON A RIEN par la Cie Chicken Street (Champ derrière la Mairie)

Texte et interprétation : Nicolas Moreau - Mise en scène : Pascal Rome (compagnie OpUS) -Œil extérieur : Jean-Louis CordierNicolas Moreau nous invite à une relecture haute en couleur du film "le Bon, la Brute et le Truand". Equipé de seulement 10 planches, 20 caisses en bois et 30 ballons de baudruche, Serge Badot, ancien reconstitueur de palettes et désormais directeur du seul Cinémarama itinérant de la région, reconstituera seul, à mains nues, sans trucages et sans assistance, les scènes cultes, les seconds rôles et les personnages principaux du film de Sergio Leone : « LE BON, LA BRUTE ET LE TRUAND ». Venez nombreux soutenir ce jeune créateur d’entreprise artisanale innovante et redécouvrir ce chef d’œuvre du Western Spaghetti !

​

​

Mercredi 7 AOÛT   St Jean du Gard

 

18H00 – 19H00 :  "Ca VA JAZZER"-Claquettes- (Place du marché)

Un spectacle tout en claquettes. La compagnie d’Eric SCIALO (plus de 30 ans d'existence) va vous emmener dans plusieurs univers rythmiques et mélodiques, chorégraphiés et improvisés. De la comédie musicale à des mélodies actuelles, les « Taps dancers »  vont vous faire découvrir ou redécouvrir l’art des claquettes.

 

21 h30 : LA DERNIERE ALLUMETTE – LA LUMIERE DES MISERABLES par la Cie Premier Acte (Salle Stevenson)

Texte et mise en scène de Sarkis Tcheumlekdjian . Avec Marie Marazita - Alice Perrier - Inès Plancher - Lumières : Laetitia Bonnet - Musiques : Gilbert Gandil.

Après avoir questionné la condition du « loup-migrant » avec le Chaperon Louche – Itinéraire d’un enfant perdu, Premier Acte continue son questionnement à propos de la condition réservée aux enfants exilés, qu’ils soient de France ou d’ailleurs. Inspirée d’une histoire vraie, la Dernière Allumette - Lumière des Misérables, nous est rapportée par une Conteuse, sous forme de souvenirs qui s’égrènent devant elle, comme un livre d’images. En s’emparant de La Petite Fille aux Allumettes de H.C. Andersen et en la précipitant dans Les Misérables de Victor Hugo, la Compagnie s’est rassemblée autour d’un témoignage bien réel d’une réfugiée du XXème siècle, pour s’adresser au public et pour le sensibiliser, une nouvelle fois, aux causes qui lui paraissent justes. 

​

​

Jeudi 8 AOÛT  Saumane

 

17H00 - 18H00 : TANT QUE LI SIAM, Chants polyphoniques (Eglise de Saumane)

Avec Marie-Madeleine Martinet - Aurélien Sausy - Mario Leccia - Audrey Peinado

​Micoulau Sabòli, Folco di Baroncelli, Enrieto Dibon « Farfantello », Marcel Faraud, autant de figures qui ont porté la parole d’une Provence libre et rebelle, consciente de son histoire et de son héritage, désireuse de s’ouvrir au monde, et ont fait entendre dans leur langue maternelle une voix bien différente des stéréotypes sur les méridionaux.
Le groupe se penche sur l’œuvre de « ces poètes en marge » ; prend humblement leur suite dans l’écriture en s’inspirant de personnalités locales qui, sans avoir rien écrit, transmettent une poésie particulière, celle de leur regard sur le monde.
Empruntant les histoires des atypiques, bandits poètes, femmes rebelles, à contre-courant de leur époque ou leur groupe social, Cançons Traversièras est le chant des terres, des luttes, des fraternités, qui fait des différences et des particularités une source de poésie.

 

16H00 - 18H00 : Atelier HIP HOP par l’association All'Style (Place du Village)

Créée en 2012, All'Style est une association alésienne, se développant au sein de la culture HipHop. Depuis plus de 10 ans, elle fait évoluer son programme, au gré des besoins du public, des compétences de l'équipe, et des opportunités de partenariat. Permettant l'accessibilité aux loisirs pour tous, et favorisant l'emploi et la formation, elle se place comme un acteur important du bassin cévenol.

 

21H30 : GUALICHO : Théâtre flamenco (Cœur du village)

Editions la Manufacture de Livres. Texte de Anne Bourrel

Avec Charo Beltran Nuñez - Cathia Pozza (chorégraphe et danseuse).

Mise en scène : Isabelle François - Voix off : Marc Na - Lumière : Gil Non (réalisation) -

Conception affiche et visuels :  Isabelle François.

Vous connaissez le Gualicho ?...En Amérique latine, le mot « Gualicho » désigne soit le génie du mal, soit, plus spécifiquement la potion qu’une femme prépare pour s’attirer les faveurs d’un homme qui la délaisse ou l’ignore ! Sur scène Gualicho, c’est l’histoire de Charo, dépassée par la force de ce breuvage explosif !
Charo l’Enjôleuse, robe rouge écarlate, accent latino, est lasse d’attendre son homme. Elle décide de lui préparer un Gualicho bien serré, ce puissant philtre d’amour des indiens Guaranis. Portée par le rythme des mots de plus en plus envoûtants, une autre femme en robe rouge danse les bras au ciel, talons séducteurs, fougueux et rageurs.

​

​

Vendredi 9 AOÛT     Les Plantiers

 

11H00 – 12H00 : LA PETITE PIEUVRE QUI VOULAIT JOUER DU PIANO  (Jardin Guillaume)

De Wajdi Mouawad par la Cie L’Arborescence

Conte musical : piano classique et design sonore live.

Mise en scène et interprétation : Adélaïde Héliot & Swan Starosta  - Direction d’actrices : Ludivine Bluche  - Chorégraphie : Laura Boudou  - Costumes : Catherine Sardi.

​Hector est une petite pieuvre qui vit au fond de l’océan et qui n’y trouve pas sa place. Or, un rêve lui écarquille les yeux : apprendre la langue de la musique et jouer du piano. Une seule issue : partir, s’enfoncer dans l’abîme, à la recherche du Grand Cétacé. 

Hector se lance seul dans l’obscurité, vers le plus profond de lui-même. Dans sa quête, il rencontre d’inattendus personnages ayant eux aussi, de gré ou de force, quitté les leurs… 

Wajdi Mouawad nous offre un conte philosophique abordant la différence, l'exclusion et la quête de soi avec simplicité et poésie. Une histoire qui provoque la curiosité, invite à l’émerveillement et au sensible et nous dit l’immense pouvoir de la musique et des rêves.

​

17H00 - 19H00 : Atelier BIODANZA pour tous (Place du village)

Animation pour tous proposée par Isabelle Jacob, professeur de biodanza et Benoit et Claudia Marchand : professeurs de biodanza formés à l’extension « Biodanza pour enfants et adolescents » sous l’égide de l’association Calypso.

Un temps privilégié pour partager le plaisir de danser, jouer, chanter, se relier et se détendre ensemble sur des musiques entrainantes ou douces.
(Accessible à tout enfant de 5 à 12 ans accompagné d’un adulte s’occupant régulièrement de lui).

Il est demandé de participer à l’intégralité de l’Atelier.

 

21H30 : 12 HOMMES EN COLERE par leTPVH (Jardin Guillaume)

Mise en scène : Fred Tournaire
Un vrai choc, théâtral et humain. Un spectacle urgent. A voir absolument .
Dans l’étuve estivale d’une salle de tribunal, douze jurés s’apprêtent à condamner un jeune homme soupçonné d’avoir tué son père.
Alors que toutes les preuves semblent accabler l’accusé, un seul d’entre eux persiste à croire à son innocence. Battant en brèche la faiblesse des dépositions des témoins, dénonçant les incohérences et les convictions faciles, l’homme assigne le tribunal à s’attarder un instant sur le sort de ce garçon.
Derrière ce procès au verdict convenu s’engage alors un autre combat : celui contre la mauvaise foi, la malveillance, l’intolérance d’individus pétris de préjugés.
La délibération, par cet après-midi caniculaire, laissera exhaler une vérité qui bouscule les certitudes, montre les limites d’un système judiciaire et confronte douze hommes à eux-mêmes. La mise en scène transpose le drame privé sur la place publique : dans un décor qui évoque le forum romain, c'est la machine judiciaire elle-même qui comparaît, mécanique huilée (trop ?) donnant à l’homme la responsabilité de disposer de la vie de ses semblables.
La délibération ne consiste pas à établir la culpabilité de l’accusé, elle devient le lieu d’un débat sur le droit de condamner lorsqu’un doute, si mince soit-il, subsiste…

​

​

​

​

​

​